Rando hard
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C'était notre première randonnée hard de l'année, pour un début de saison, nous avons eu un aperçu de ce qui nous attend pour les futures. L'entame de la randonnée nous a un petit peu surpris, la montée a été interminable, mais nous sommes, sans grande difficulté, arrivés jusqu'en haut.
Nous avons déjeuné sur la place de l'église, à l'abri du vent qui ne nous a pas trop perturbé tout au long de la balade. Dommage que certains soient occupés par le ramassage de certains fruits, desquels est retiré un breuvage délicieux, d'autres pour des raisons différentes. La descente après le repas nous a permis de retrouver les véhicules, puis de se dire à mardi prochain.
ROURE en catalan aurait une traduction qui signifierait robuste comme le chêne.
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Je ne peux pas dire grand choe sur la randonnée, n'étant pas présent. En voyant les photos, on peut supposer que le temps n'était pas au rendez vous.
Bref, bonne balade.
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Après cette longue coupure due au climat, nous avons eu le courage d'affronter le dénivelé pour cette reprise. Nous étions cinq valeureux marcheurs, et nous avons vaincu ce sommet du Vallespir, le temps nous a permis d'admirer le panorama, car il nous a laissé le temps de regagner les voitures. Là, quelques gouttes sont tombées, nous obligeant à faire fonctionner les essuie glaces lors du trajet retour.
Mais ce fût une épopée qui a permis de ramasser quelques chataignes, bien que la saison soit presque terminée, bon courage pour la crême de marron. Mardi prochain sera une balade pour nous cinq.
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Nous sommes partis avec un temps couvert et quelques gouttes de pluie, sur le trajet en voiture, mais arrivés au point de départ, nous avons été surpris par la température.
Tout le monde s'est calfeutré en mettant bonnet, gants et veste chaude pour résister au froid et au vent. Heureusement que la randonnée à traverser beaucoup de forêt, pour supporter cette baisse du thermomètre.
Quand nous sommes arrivés sur le site, nous avons trouvé quelques changement, une maquette montrant comment celui-ci était et des panneaux relatant les faits marquant des années 40, puis il a fallu chercher un endroit à l'abri pour déjeuner tranquillement.
Le retour vers les voitures a semblé être long, mais il faut dire que nous avons marcher pendant au moins 14 km, sans compter "les égarements" et les randonneurs insolites (lama et sanglier), bref la nuit aura été bonne pour certains d'entre nous, pour qui c'était une reprise.
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Une journée super pour cette randonnée dans un site un peu abimé par des lieux semblant être à l'abandon, pourtant occupés par des chevaux. Dommage que cela dénature le panorama qui serait agréable.
Enfin, cela ne nous a pas empêché de voir qu'il y a à coté de ces lieux d'autres qui sont entretenus et visitables (jardin botanique de Foncaude)
Cette randonnée bien que courte nous a amené à faire quand même 10,9 km
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Ce chemin ne nous était pas familier, pour cause, nous ne l'avions jamais emprunté. Cela a été une découverte, qui nous a montré qu'il fallait du courage pour accéder à la chapelle. Celle-ci était ouverte, une association était entrain de faire du nettoyage (retrait du seneçon du cap)
L'histoire
C’est à la dévotion de Sainte Engrace de Saragosse que l’on doit la présence de cette chapelle édifiée sur les flancs majestueux des Gorges du Mondony. Une chapelle romane des XIè & XIIè siècles (avec, autrefois, un très beau retable gothique du XVè… volé depuis) qui est mentionnée dans divers ouvrages et écrits à partir de 1285. D’abord simple prieuré, elle deviendra un ermitage au XVIIè. Traditionnellement, chaque Lundi de Pâques, son site se transforme en lieu cultuel, mais est aussi l’occasion d’un rassemblement festif avec repas et sardanes. Fondée en 1993, l’Association de Sauvegarde du Patrimoine, restée plusieurs années en sommeil, sera relancée grâce à des membres actifs d’une autre association « les Goïgs dels Ous ». Ce sont eux qui ont, notamment, réussi à convaincre la mairie d’Amélie-les-Bains d’acquérir le site en 2001. Depuis lors, ces bénévoles passionnés ont totalement rénové la bâtisse et aménagé ses abords forestiers.
La forêt
Avant d’atteindre les alzines (chênes verts) autour de Santa Engràcia, vous avez gravi des pentes couvertes de châtaigniers. C’est l’arbre phare en Haut-Vallespir puisqu’il occupe à lui seul 27% de la surface boisée.
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Aujourd'hui, nous avons innové, pour la première fois, nous avons fait une reconnaissance, mais aussi une découverte (les randonnées passées ne sont plus les mêmes, pour preuve, les propriétaires qui ferment les chemins empruntés il y a peu), et tout cela va très vite.
Cette mésaventure nous a fait faire un détour de 2,1 km pour pouvoir retrouver la trace après avoir contourné la propriété privée (impossible de passer, barrière cadenassée), cela ne nous a pas empêcher de retourner à temps à Marquixanes pour rentrer à Perpignan. Voilà, nous aussi nous faisons Koh-Lanta, sans être filmés, l'aventure c'est l'aventure, nous nous en sommes sortis, là est le principal.
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Aujourd'hui était une journée audoise, avec bien sûr un petit peu de vent, nous n'avons pas eu de moustique. Sans compter tous les cailloux, d'ailleurs c'était impossible à faire, il n'y avait pas suffisamment de doigts. Nous avons avalé les 13,7 km sans forcer, soit avec, soit contre le vent, mais cela s'est fait avec gants, bonnet et doudoune, la fraicheur se faisait quand même sentir. Heureusement, nous avons trouvé un coin relativement à l'abri pour déjeuner.
Mais malgré tout ces inconvénients, nous nous sommes régalés de vues magnifiques qui allaient de Sète au cap Creus, et bien sûr les Corbières chères à notre audois, mais on pouvait deviner dans les nuages le Canigou, le Néoulous (qui s'est couvert d'un manteau blanc), par contre pas de B......ach ? Nous avons aussi découvert des vestiges du pastoralisme.
Nous sommes passés sur la pseudo via domitia en étant sur le site de bornes milliaires, mais la via passe plus à l'est de ce site.
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En cette belle journée, nous avons attaqué une randonnée redoutable et redoutée par un certain nombre d'entre nous, et bien aucun des sept participants n'a failli et est arrivé à son terme .
A l'aller, nous sommes passés à proximité de dolmens (cova de l'alarb et du collets de collioure), et là, tout seul je suis allé les photographier. Nous avons vu aussi une capitelle, un ori peut être, c'est comme vous le sentez (nous n'allons pas entamer une polémique comme chocolatine et pain au chocolat). Nous avons poursuivi l'ascencion, doucement mais sûrement jusqu'au sommet. Durant celle-ci, nous avons contemplé les vues qui s'offraient à nous et ce jusqu'au final, nous avons aperçu les deux perles de l'Occitanie, le Bugarach et le Canigou.
Pour prouver que nous y sommes tous arrivés, vous pouvez voir la photo au pied de la tour de la Massane. Comme à l'habitude, le déjeuner fut digne d'un 3 étoiles (apéro, plat, dessert, accompagnés de vins délicats, et même le pouce après le café), et un petit clin d'oeil à ceux qui ne sont pas venus, il y avait même de la chantilly.
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Une reprise de début d'année, qui nous a amené à faire la découverte de sous-bois et suivre un petit ruisseau qui ne devait pas être sur la trace originale. Nous avons retrouvé sans encombre, les voitures. Les randonnées permettent aussi de faire des rencontres, le club de randonnée de saint André nous a croisé, la discussion s'est aussitôt engagée, mais il a fallu couper court, on pourrait y être encore.
La randonnée était agréable, car beaucoup de passages en sous bois, donc à l'ombre.
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Malgré les désistements successifs, la randonnée a été maintenue, nous étions cinq courageux à braver le froid (-6° au départ de la rando), cela ne nous a pas perturbé tant le spectacle était magnifique, d'autant plus que nous nous sommes réchauffés après quelques pas dans ce cadre exceptionnel.
Pas la peine d'aller dans le Colorado pour admirer le canyon, celui que nous avions sous les yeux le valait bien. Quelques panneaux nous ont expliqué l'histoire de Minerve, nous sommes passés à coté du trébuchet, prénommé malvoisine, car au vu de l'histoire, on peut considérer que c'était une mauvaise voisine, puisque c'est bien grâce à ce trébuchet que Minerve s'est rendu à Simon de Monfort.
Le pont sur le Brian est un chemin d'eau autrement dit un aqueduc, qui permettait d'amener l'eau jusqu'aux champs situés en aval et faire boire les chevaux, c'est Monsieur de Daniel qui a fait construire ce pont.
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Une belle journée en Espagne pour faire ce petit tour, oui, petit, car nous avons écourté cette balade de quelques kilomètres. Mais à savoir que ce que l'on a vu nous a rempli les yeux de choses superbes. De beaux sentiers, un lac, un dolmen, une chapelle, etc...
Cette journée a aussi été sous le signe de la culture, le sac à dos de Sylvie nous a posé question, quant à sa marque "OSPREY", c'est pour sûr, des sacs à dos, mais pas que ça, ce terme serait anglais et signifierait Balbuzard.(recherche sur GOOGLE). On a pu aussi apprendre quelques mots de Catalan (riuades sobtades) qui veulent dire (innondations soudaines), fini pour la culture.
Ces dames ont joué à Cendrillon, elles ont essayé de chausser le soulier de pierre de Saint Esteve del Llop, mais aucune n'est repartie avec.
Ces derniers mardis, nous avons eu de la chance avec la météo, espérons que ça continue.
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Rendez vous à l'ancien cimetière de Vingrau, près de l'église.
Une journée exceptionnelle pour une randonnée à la hauteur de la météo, nous partions pour une randonnée tranquille, une ascension légère sur ce chemin goudronné jusqu'au Mas Llenço, où là, la montée s'est amorcée. Le trauc était à portée de vue, et peu de temps après, nous faisions la photo, une fois passés le trou.
C'est à partir de là que la marche s'est corsée (bien qu'étant dans le 66), des montées, des descentes, des cailloux et enfin, un endroit idéal pour le déjeuner (versant à l'abri), une vue magnifique coté mer comme coté terre. Après le repas, nous avons encore gravi quelques marches, quelquefois importantes, pour ensuite redescendre vers le parking. En passant, nous avons vu le trou énorme, au niveau du refuge très mignon et bien arrangé, nous aurions pu y passer la nuit (10 couchages).
Nous avons croisé un autochtone de 92 ans qui nous a félicité pour notre courage d'avoir passé le trauc. Mais le trou ne serait pas celui que l'on pense, ce serait vraiment un trou.
Une recherche sur les traces parallèles des roches, ce sont les pluies sur les lapiaz calcaires qui les produisent, voir tout type d'érosion sur les roches
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Nous étions comme les doigts de la main, tous unis pour une belle randonnée, une seule gente dame était présente, la défection des deux autres a réduit le groupe. L'une dont la batterie a fait défaut, et l'autre étant bloquée du dos. La discussion a été animée par des sujets hautement philosophiques, quel était le voyant restant allumé sur le tableau de bord, et que signifiait-il. (la batterie affirmait la gente dame) il s'est avéré qu'elle a eu raison.
Par contre une autre discussion concernant de la boucherie est venue sur le plateau, cote de boeuf, mais y a t il des cotes de cheval, puis est venue la carbonnade (soit disant un morceau de viande de porc extra gouteuse), et bien oui, la carbonnade est bien un morceau de porc, mais celui-ci s'appelle aussi grillade de porc, en fait tout le monde avait raison, sans penser que la carbonnade était aussi la grillade.
Un repas comme à l'habitude, avec un peu de mélodie (happy birthday to you) pour Pierre, son anniversaire étant passé d'un jour. Chacun a évoqué avoir déjà fait cette randonnée dans le passé, plus ou moins tard dans le temps, apparemment, chacun de nous l'a déjà faite à des dates différentes. On peut retrouver les preuves dans les archives.
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Un départ de randonnée un peu confus, j'en conviens, les coordonnées GPS ne donnaient pas précisément le départ de la randonnée. Je veillerais à ce que celles-ci soient plus justes la prochaine fois.
Enfin, nous nous sommes tous retrouvés pour démarrer la rando, si nous avions suivi la trace, nous aurions loupé les deux choses qui donnaient un intérêt à la rando, le dolmen et le site troglo (bien que celui-ci soit quelque peu rudimentaire et apparemment assez récent), pour ce dernier ce fut un aller retour. Nous avons repris le chemin du dolmen et avons traversé une forêt agréable (rando que l'on peut faire par temps estival), le reste de ce parcours s'est effectué en majeure partie sur des pistes foresières, dont le nom changeait à chaque carrefour. Nous devions voir un gouffre, mais le réchauffement climatique l'a certainement asséché, nous n'avons vu qu'un aven et ensuite un plan d'eau, serait ce le Gourg de l'Antre, peu probable. Puis avec la dernière cote, nous avons rejoint les voitures pour revenir à la maison.
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Une randonnée à l'origine difficile qui s'est transformée rapidement en balade "ramassage d'asperges", les dénivelés ont été dévorés sans problème ainsi que les kilomètres, lors du repas, nous avons assisté à un match de tennis en simple, il n'y avait qu'une seule balle, la partie s'est terminée rapidement après une sortie de terrain. Les deux difficultés majeures de cette randonnée furent; le départ sur une cote de rocher mouillé, avalée rapidement, puis lors du retour, trouver le moulin de Ribaute que nous avions sous le nez depuis le parking, cela nous a valu de faire une petite rallonge qui a compensé la partie passée aux oubliettes du château de Peyrepertuse.
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Le soleil a joué à cache-cache avec nous, les asperges nous ont nargué, mais ce n’était pas notre préoccupation. Les quelques grimpettes sur le parcours n’ont pas calmé l'ardeur des 6 randonneurs au besoin de marcher. Un coin aménagé par les chasseurs nous a permis de prendre le repas à l’abri. La rencontre avec de la charcuterie sur pattes nous avait ouvert l'appétit.
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Malgré le temps qui ne s'annonçait pas très clément pour faire cette randonnée, le changement de parcours pour éviter d'être bloqué par manque de chaînes, nous avons quand même réalisé cette randonnée avec un soleil qui nous a réchauffé après le premier quart d'heure de marche. Nous avons avalé les 14 km sans nous en rendre compte, tout en ramassant quelques asperges, les omelettes ont été très appréciées pour le repas du soir.
Sur la fin du parcours, une découverte surprenante, l'église de Notre Dame des Oubliels, nous a ramené au XIII ième siècle. Un site exceptionnel, avec un jardin où sont plantés à chaque naissance un arbre avec le nom et prénom de l'enfant du village.
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Une belle journée pour une belle randonnée, nous ne pouvions réver mieux pour admirer le spectacle s'offrant à nous, les châteaux de Quéribus (auquel nous ne sommes pas montés) de Peyrepertuse (auquel nous aurions pu monter), le Canigou, Madres, la mer, la plaine, etc...
Ce fut aussi l'occasion de récolter quelques asperges, mais en passant, nous avions déjà perdu du temps avant le démarrage de la randonnée, quelques achats à la boulangerie, la visite du moulin de Cucugnan pour certains, il fallait porter les courses aux véhicules, je ne m'étendrais pas plus que ça. Merci pour le café.
La montée terminée, nous nous sommes installés à une table près du guichet pour la visite du Château de Quéribus, et là comme à l'habitude, apéro, pizzas, repas, avec vin, recafé et dijo, et ensuite nous sommes repartis sur une pente raide, jusqu'aux voitures pour enfin rentrer à la maison.
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Un temps splendide pour une rando de 10 bons km. Nous avons fait des variantes allongées, vu que peu nombreux, nous avons avancé plus vite.
Nous avons encore péché en cueillant quelques asperges. Une petite grenouille verte (peut être un prince charmant) nous a coupé la route. Nous déplorons toujours ces cabanisations qui défigurent la nature. Un petit coin ensoleillé et à l’abri du petit vent nous a accueilli pour le repas.
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Prieuré de Santa Maria del Vilar
Nous avons été audacieux et aussi chanceux, la météo n'était pas trés satisfaisante, mais nous avons quand même bravé notre appréhension. Nous sommes partis avec un beau soleil, et celui-ci nous a accompagné tout au long de notre périple. Nous sommes arrivés au Prieuré, où nous avons déjeuner, le site est superbe, à voir (4€ l'entrée, ouvert à partir de 15h)
Nous avons terminé en dégustant le café sous quelques gouttes et notre amie la pluie, que dis je l'orage nous a accompagné jusqu'aux voitures. Ce mardi était le jour idéal pour sortir, il suffit de voir la météo d'aujourd'hui.
Une randonnée, certes un peu difficile, car la montée est présente jusqu'au sommet, presque pas de moments de répit, mais une belle balade quand même.
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Malgré la météo (vue par les Miss Météo du groupe), annonciatrice de pluie pour cette journée, nous avons après moultes discussions, décidé de faire la randonnée. Un petit retard a permis à une partie du groupe de se réchauffer avec un café de Thury, c'est en dégustant ce dernier que nous avons opté pour le circuit court du labyrinthe (suite aux conseils avisés du cafetier). A l'arrivée des retardataires nous sommes partis sur ce sentier et avons découvert des sites que nous n'avions pas vu lors de la précédente rando, bonne idée de l'avoir modifiée. Par contre, nous nous sommes rendus compte que la sécheresse avait fait des dégâts sur la forêt, et effectivement, quand nous sommes arrivés au sapin harpe, nous avons découvert une belle sculpture. L'arbre ayant souffert, il a été modélé pour conserver sa trace.
L'arrêt banane n'ayant pas eu lieu, arrivés au Lapiaz, nous avons déjeuné sur les bancs naturels, maiiiiisssssss arrivés au café, les gouttes se sont intensifiées et nous ont pressé pour terminer le repas. Le retour aux voitures s'est fait tranquillement, la pluie n'étant que du crachin. De retour dans nos pénates, nous ne savions pas quel col emprunter (le col Mao ou le col roulé????), ce fût le col de la Dona, déjà connu.
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Nous avons laissé le brouillard de PERPIGNAN pour nous retrouver à CAMPOME avec un beau soleil. Notre randonnée de 16km, il y a eu des variantes, nous a permis de voir différents orris, l’orri-pagode nous a été utile pour le repas, des paysages grandioses, le site témoin de l’Art Paléolithique en plein air, les ruines de la chapelle St-Christophe. Quelques nuages étaient ancrés au Canigou. Pour finir cette rando, quelques asperges